En cause de la chute des cheveux, plusieurs facteurs sont couramment incriminés comme le dérèglement hormonal, le stress, une maladie ou un traitement médicamenteux. D’autres causes parfois moins prises au sérieux valent réflexion comme une mauvaise alimentation. Comment savoir ?
Une alimentation déséquilibrée en faveur de la chute des cheveux
Une carence en nutriment peut avoir un impact non négligeable sur la santé des cheveux. Un manque de fer installé peut par exemple causer une alopécie continue, rendant les cheveux plus ternes, plus fins au fil du temps, avec une dégradation parfois accélérée. Le fer est en effet l’élément vital pour l’oxygénation des cellules capillaires responsables du renouvellement des cheveux. Bien que la consommation accrue d’aliments riches en fer — comme le cumin, le chocolat noir, le soja, le thym, etc. — soit vivement conseillée pour en augmenter l’apport, une supplémentation s’avère toujours nécessaire. Une cure de complément alimentaire anti chute cheveux+complément alimentaire croissance cheveux permet en effet de compléter les apports nutritionnels conseillés au quotidien qui varient en fonction de l’âge et de l’état d’un individu. Un traitement d’au moins 3 mois permet de rééquilibrer le cycle capillaire pour ainsi revitaliser les cheveux et les rendre plus vigoureux indépendamment les agressions environnementales.
Les hormones : qu’ont-elles à y voir ?
La fluctuation des hormones tout au long de la vie d’une femme — comme d’un homme — influence l’état des cheveux. L’importance et la fréquence de l’alopécie varient fortement d’une personne à une autre. Une femme ayant accouché perdra par exemple plus de cheveux qu’une autre qui n’a pas encore procréé. La ménopause comme la prise d’un traitement contraceptif peut également causer un dérèglement hormonal conduisant à la perte de cheveux. Le stress est un autre facteur aussi consécutif à un dérèglement hormonal pouvant causer la chute des cheveux. Mais toutes les personnes stressées ne subissent pas forcément une alopécie. Seuls les terrains favorables peuvent être à risque. La chute des cheveux dans ce cas-là peut donc perdurer jusqu’à 4 à 5 mois après la survenue d’un événement déclencheur.
La question de l’hérédité
Les marqueurs de la perte de cheveux peuvent aussi être génétiques. Certaines formes de chute comme la calvitie sont donc en grande partie héréditaires. Et cette perte anormale et accélérée des cheveux n’arrive pas qu’aux hommes. Les femmes peuvent aussi en être sujettes et la vivent plus difficilement dans la société où la chevelure peut devenir un véritable atout de séduction. Une chute de cheveux anormale et qui perdure peut donc cacher une alopécie génétique qui reste irréversible. Il convient ainsi de faire un diagnostic capillaire approfondi le plus tôt possible pour connaître la véritable cause d’une chute de cheveux trop prolongée. Dans le cas d’une calvitie avérée, un traitement peut être prescrit en début d’alopécie. Les soins consistent à limiter la perte de cheveux et non pas à la stopper. Le cuir chevelu doit être particulièrement stimulé à travers l’utilisation de produits de lavage non agressifs par exemple. Certains compléments alimentaires aident également à ralentir la chute et à renforcer la fibre capillaire.